Ce-dernier estime notamment que le grand public se fait une mauvaise idée et une mauvaise représentation de la bulle sanitaire.
Ainsi, Roger Salamon indique qu’il était impossible pour le rugby de mettre en place une bulle aussi stricte que ce qui a été récemment mis en place au tennis ou au basketball, aux USA, avec aucune entrée ni sortie.
Pour lui, la bulle sanitaire des Bleus est seulement une zone protégée où les joueurs peuvent sortir et peuvent y entrer à condition d’être testés négatifs au virus. Extrait:
“Personne ne rentre et personne ne sort comme on l’a vu pour le tennis et le basket. C’est impossible pour le rugby. La bulle sanitaire est une zone protégée par le protocole. Personne n’y rentre sauf s’ils subissent une garantie de négativité. C’est ce que nous espérions avec les joueurs du rugby à 7. Mais des gens peuvent bien évidemment en sortir pour aller à l’hôpital s’ils sont blessés ou une autre raison. C’est une zone protégée. C’est comme une zone militaire. On ne peut pas rentrer sauf si on est négatif.”
Malheureusement, la bulle n’a pas du tout été efficace. Mais Roger Salamon l’affirme : le protocole sanitaire a été entièrement suivi par le groupe France dans sa globalité. Extrait:
“Le protocole a été parfaitement suivi. On peut en être très heureux puisque Fabien Galthié est complètement exonéré de tout. Et vous imaginez bien qu’un entraineur comme celui-là, on ne peut pas en trouver facilement d’aussi bon. Il n’y a rien que l’on puisse reprocher, même si certains pour des raisons pas très jolies, cherchent à trouver des poux dans la tête de Fabien Galthié, de Serge Simon ou de Bernard Laporte. Ce sont de mauvais procès par des gens qui ne sont pas partisans d’un beau rugby et d’une belle équipe de France.”
Par ailleurs, Roger Salamon a indiqué que le patient zéro était un jeune joueur de rugby à 7. Pour lui, c’est indiscutable. Extrait:
“Le patient zéro est de manière indiscutable est un jeune joueur qui joue à 7 et qui était partenaire d’entrainement de l’équipe de France. Fabien Galthié n’est absolument pas le patient zéro.”