Depuis ce lundi, le groupe France est à Nice pour un stage de deux semaines afin de préparer les premiers matches du Tournoi des Six-Nations.
Pour l’occasion, la Fédération Française de Rugby a pris toutes les précautions nécessaires pour éviter tout risque de contamination en cette période de crise sanitaire.
En effet, une bulle sanitaire très stricte a été créée au sein du groupe France.
Ainsi, dès leur arrivée à Nice, tous les joueurs ont été testés tout comme les membres du staff. D’ailleurs, un deuxième test sera effectué en milieu de semaine.
Aussi, le port du masque reste obligatoire durant le stage, sauf durant les entraînements.
Toutes les séances d’entraînement des Bleus s’effectueront à huis clos. Les entretiens avec la presse s’effectueront pas visioconférence. Il n’y aura donc aucun contact physique avec les journalistes.
Tous les appareils qui seront utilisés par les joueurs seront soigneusement désinfectés.
Les joueurs n’auront pas le droit d’avoir une interaction avec des personnes extérieures à la bulle sanitaire afin que cette bulle puisse justement rester imperméable au virus.
Concernant l’hôtel dans lequel réside le groupe France, il a entièrement été désinfecté. L’établissement a d’ailleurs été entièrement privatisé pour l’occasion et le personnel a été testé.
Interrogé dans l’émission Stade 2 ce dimanche soir, le manager du XV de France, Raphaël Ibanez a expliqué que toutes les conditions sanitaires allaient être respectées à la lettre. Extrait:
«Nous avons suivi de nombreuses visio-conférence avec le Comité des six nations. Nous suivons à la lettre les recommandations édictées. Notre bulle sanitaire est ultra-stricte. Notre hôtel est privatisé et tout le personnel a été testé. Nous-mêmes, encadrement et joueurs, avons passé le premier test d’une longue série dès notre arrivée ce dimanche.»
Pour conclure, Raphaël Ibanez a expliqué pourquoi les Bleus effectuent ce stage à Nice et non pas à Marcoussis. Extrait:
«D’abord nous venons chercher la lumière. Il y a aussi un côté symbolique, un an après jour pour jour, de retrouver cette destination provençale qui nous avait guidés à notre première victoire dans le Tournoi des six nations.»
