Ce mardi après-midi, Denis Charvet et Vincent Moscato ont exprimé leur admiration pour un joueur du XV de France.
Via RMC Sport, les deux consultants ont expliqué être en admiration totale devant le troisième ligne Charles Ollivon.
Denis Charvet l’affirme : Charles Ollivon, c’est la classe et l’élégance.
Selon lui, le joueur du Rugby Club Toulonnais a clairement mis le doute dans la tête du sélectionneur Français Fabien Galthié. Extrait:
“Charles Ollivon, c’est la classe, c’est l’élégance même ! Il est revenu en équipe de France sur la pointe des pieds, sans rien dire, on n’a pas vu un commentaire sur lui. C’est un simple soldat au service du collectif et de la France. A l’arrivée, il nous fait un match avec une performance XXL, très fort dans les airs, toujours très bien placé, très fort en touche, il plaque, il a avancé face aux Australiens. Ce n’est pas donné à tout le monde de revenir d’une si grave blessure et d’être si performant en équipe de France. Il revient de loin.
Il part, le XV de France fait le Grand Chelem, François Cros prend sa place, il devient incontournable… Tu peux prendre un sacré coup au moral. On lui enlève le capitanat. Il retrouve le capitanat au Japon car il n’y a pas Dupont. Et là, il ne fait pas de vague. Je pense qu’il est reparti pour être titulaire. Pour moi, samedi, il a mis le doute dans la tête de Galthié. C’est un leader de vestiaire. C’est un taulier. Sur le terrain il est exemplaire, c’est un symbole. Il m’a étonné car je ne pensais pas qu’il serait à ce niveau-là. La route est longue mais il a tout pour revenir en puissance dans cette équipe de France.”
De son côté, Vincent Moscato a surenchéri. Extrait:
“Il fait un match extraordinaire, c’est un combattant hors paire, il contre ne touche, il est bon sur ses ballons, il avance à chaque fois, il est grand, il franchit, il est impressionnant, il a des cannes et surtout il est joueur ! Encore une fois il marque. Il marque des essais. Un mec qui marque des essais qui joue en troisième ligne, qui contre en touche, qui court partout et qui plaque, tu es obligé de le faire jouer.”
