L’information est révélée par le journal L’équipe –
Trois joueurs étrangers pourraient prochainement intégrer le groupe France.
C’est suite à l’affaire Posolo Tuilagi que certains joueurs étrangers ont pris conscience qu’ils pourraient bientôt postuler pour l’équipe de France.
Le journal L’Indépendant a récemment annoncé que Posolo Tuilagi n’était pas éligible à l’équipe de France car il ne possédait pas encore le passeport Français.
Rapidement, le vice-président de la FFR Jean-Marc Lhermet démentait l’information, précisant qu’il n’était pas nécessaire d’avoir un passeport Français pour postuler à l’équipe de France.
En effet, ce règlement était souhaité par l’ancien président de la FFR Bernard Laporte mais n’a jamais été légiféré.
La nouvelle direction de la Fédération Française de Rugby a décidé de ne pas imposer la nationalité Française aux joueurs pour postuler à l’équipe de France. Par conséquent, Posolo Tuilagi peut postuler, mais pas que.
Selon L’équipe, trois piliers étrangers pourraient être appelés par Fabien Galthié en cas de besoin.
La seule règle à respecter est celle de World Rugby, à savoir : avoir résidé 60 mois consécutifs sur le territoire et ne pas avoir joué récemment pour une autre sélection.
Les trois joueurs étrangers qui pourraient bientôt porter le maillot des Bleus sont : Tevita Tatafu (Bayonne, 21 ans, 1,83 m, 133 kg), Joël Merkler (Toulouse, 22 ans, 1,93 m, 135 kg) et Moses Alo-Emile (Stade Français, 24 ans jeudi, 1,87 m, 125 kg).
Parmi ces trois joueurs, Moses Alo-Emile est de facto éligible et intéresserait fortement le staff Tricolore.
Pour sa part, le Bayonnais Tevita Tatafu sera éligible à l’équipe de France dès le mois de novembre prochain.
Enfin, le Toulousain Joël Merkler plairait également au staff de l’équipe de France. Mais pour l’heure, il ne peut pas postuler puisqu’il a récemment joué avec la sélection Espagnole.
Son dernier match avec la sélection Espagnole remonte au 22 novembre dernier. Il doit respecter au total 36 mois sans sélection pour pouvoir postuler pour l’équipe de France.
Affaires à suivre…
