À Rodez, la montée en Fédérale 2 n’a pas seulement été célébrée par des chants, des accolades et des festivités traditionnelles.
Jean-Simon Dressayre, demi d’ouverture du club, a marqué l’instant d’une manière pour le moins originale : en se faisant tatouer le visage de son entraîneur Patrick Furet… sur le mollet.
Le club aveyronnais vient de signer une performance historique en s’imposant face à Isle, ouvrant les portes de la Fédérale 2. Mais c’est bien le geste de Dressayre, également tatoueur professionnel, qui a capté l’attention deux jours après la montée.
« C’est un pari qui date de l’an dernier. L’idée, c’était de me faire tatouer sa tête si on montait. Ça ne s’est pas fait, mais cette année quand on a repris l’entraînement, il m’a demandé si ça tenait toujours pour cette saison. Je lui ai dit que je n’avais qu’une parole ! », raconte l’ouvreur ruthénois via Centre Presse Aveyron.
L’initiative, bien que connue de ses coéquipiers, n’a pas trouvé d’imitateur. « Je suis le seul de l’équipe à être aussi fou pour faire ce genre de choses. On a un groupe Messenger entre nous et quand j’ai envoyé la photo, tout le monde m’a traité de malade, m’a dit que j’étais un dieu », plaisante-t-il.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Porté par l’euphorie de la qualification, Dressayre envisage déjà une nouvelle folie cutanée si Rodez atteint la finale du championnat de France.
Affaire à suivre…







