Le début de la saison 2025 / 2026 approche à grands pas.
Pour cette nouvelle saison, le manager de Clermont, Christophe Urios souhaite mettre en place de nouvelles choses.
Il s’est confié via La Montagne. Extrait:
« On a envie de mettre en place des choses nouvelles, que ce soit à travers le jeu ou la préparation physique. Mais aussi à travers mon leadership, qui doit évoluer dans tous les cas. »
Il l’affirme : l’heure de la construction est désormais terminée. Cette phase aura duré deux saisons. Extrait:
« Cela fait deux ans que je suis ici maintenant. Deux ans dans la construction. Aujourd’hui, je considère que cette phase-là est terminée. Nous sommes dans l’envie, désormais. Forcément, mon leadership doit évoluer avec. C’est davantage de partage avec les joueurs et le staff. Nous devons créer cette communion pour avancer encore plus. »
Il ne le cache pas : jusqu’à présent, il n’était pas forcément satisfait de ses relations avec le staff et les joueurs.
Mais cela a évolué cet été. Extrait:
« Pour remettre un club en mouvement, on ne peut pas faire d’omelette sans casser des œufs. Je savais que cela allait créer des tensions, que j’allais parfois être l’homme à abattre. Tout cela était clair dans ma tête. Mais maintenant, cette phase-là est terminée. C’est en ce sens que j’ai dit qu’il fallait que mon management évolue.
J’ai besoin d’avoir de bonnes relations avec mon staff et les joueurs pour être performant. C’est mon fonds de commerce. Ce n’était pas optimal jusqu’à présent. Ce n’est pas ce que j’ai montré à Clermont jusqu’ici, parce qu’il fallait construire. »
Son technicien adjoint, Julien Laïrle confirme. Extrait:
« Nous sommes en permanence à la recherche de nouvelles façons de faire évoluer notre cohésion. Mais c’est la vérité de toute construction d’un groupe. Pas mal de joueurs cadres sont partis, des historiques du club. Beaucoup de nouveaux sont arrivés. Nous avons donc besoin de recréer du liant.
Et cela passe par notre leadership et notre management, que ce soit dans notre relation avec le groupe ou dans notre complémentarité au sein du staff. Cela implique plus d’engagement de chacun. Aujourd’hui, c’est le “on” qui prime. »







