Le trois-quarts centre Juan Ignacio Brex s’est engagé en faveur du Rugby Club Toulonnais cet été.
L’international Italien de 33 ans s’est longuement confié via Actu Rugby.
Au cours de cet entretien, il explique sa décision de rejoindre le club Varois.
Il indique dans un premier temps être très heureux dans son nouveau club et adorer la ville de Toulon. Extrait:
Je suis très content d’être ici. Le groupe m’a bien accueilli, je m’adapte bien et il y a quelques Italiens qui me donnent un coup de main, autant pour ma famille que pour moi. La ville de Toulon est superbe, on peut tout faire comme aller à la mer ou à la montagne.
C’est un endroit formidable, différent de Trévise mais tout aussi agréable. Maintenant, j’ai hâte de jouer et de montrer ce que je suis capable de faire sur le terrain.
Lorsque le journaliste lui demande pourquoi il a décidé de quitter Trévise pour Toulon, Ignacio Brex explique que sa volonté était de changer de vie et de franchir un nouveau cap dans le rugby. Extrait:
Et pourquoi pas (rires) ? Je voulais avant tout changer de vie. Je pensais que c’était le moment de ma carrière où je devais franchir un nouveau cap, j’avais besoin d’une nouvelle aventure pour retrouver l’énergie que j’avais avant.
Lorsqu’on reste longtemps au même endroit, on se retrouve dans une certaine zone de confort et, à ce moment de ma carrière, j’avais besoin de quelque chose de nouveau pour grandir encore. Je pense qu’ici, à Toulon, tout est réuni pour me permettre de franchir un nouveau cap. C’est le bon endroit au bon moment pour moi.
Pour conclure, il explique avoir joué plusieurs fois à Toulon avec Trévise. Il adore l’ambiance qui règne à Mayol. Extrait:
Je suis déjà venu car on a joué plusieurs fois contre Toulon avec le Benetton. A chaque fois, j’étais très surpris par le public, “i tifosi” comme on dit chez nous. Voir leur chaleur, leur énergie, ça m’a rendu fou. Nous, les Latins, on aime ce côté-là. Et je pense qu’en portant le maillot du RCT, ce sera encore plus incroyable.
Mais il y a une chose qui m’a rendu amoureux de ce club, c’était encore plus tôt quand j’étais plus jeune en Argentine. Je parle évidemment des années où Toulon a remporté les trois Champions Cup d’affilée.







