Ce week-end, le Biarritz Olympique a démarré sa saison 2025-2026 de manière éclatante.
Les joueurs biarrots se sont imposés avec autorité face à Béziers, remportant la rencontre sur le score de 55 à 36.
Cette victoire bonifiée offre au BO un excellent départ, lançant la saison sur les chapeaux de roue.
Dans une interview accordée à Midi Olympique, le manager Boris Bouhraoua a partagé son enthousiasme. Extrait :
Oui, j’étais très heureux. Franchement, c’est toujours très dur d’ouvrir le championnat et de recevoir. Une pression s’installe, tu en parles, tu essaies de l’atténuer, mais in fine, même si tu veux l’éviter, elle est là. Vous savez que nous avons trois points en moins et il y a tout ça qui s’est rajouté, mais nous sommes restés froids. Je suis vraiment content de l’état d’esprit ce soir.
Il insiste sur l’attitude combative de ses hommes durant la rencontre. Extrait :
Vous me connaissez, le plus important, c’est l’état d’esprit des joueurs. Les 56 joueurs sont sur le même alignement là-dessus. Au niveau du rugby, les équipes font beaucoup de choses pareilles, mais ce qui fait la différence, c’est l’intensité, l’état d’esprit. Nous avons été des chiens de la casse comme on aime bien le dire. La première mi-temps est bonne défensivement. Si on arrive à avoir quatre ou cinq possessions de plus, en touche notamment, au bout du compte, le premier acte est bon, même contre le vent.
Pour Boris Bouhraoua, cette rencontre est aussi une validation du travail effectué pendant la préparation estivale. Extrait :
Ce soir, c’est la confirmation de la préparation d’été. On a lancé la saison, le championnat commence maintenant. J’avais dit après Bayonne que la victoire allait amener de la confiance, mais il ne fallait pas tomber en surconfiance. Nous sommes vraiment restés froids, on a mis beaucoup d’humilité après Bayonne, et nous sommes restés dans notre process de travail.
Un autre changement notable cet été a concerné la pelouse du terrain d’Aguilera, désormais en synthétique. Une évolution bien accueillie par l’équipe. Extrait :
Au moment où on se parle, les gars sont contents. Le synthétique, c’est plutôt stable. Il y a beaucoup d’avantages, c’est une surface rapide, on aura les mêmes conditions toute l’année. Par contre, c’est un piège car toutes les équipes vont venir pour nous contre-attaquer, jouer. Ils savent qu’ils auront des bonnes conditions de jeu. On a 20 matchs sur 30 sur du synthétique cette année. C’est la modernité.







