
Le coach de Clermont, Christophe Urios, s’est livré sans détour aux lecteurs du quotidien régional La Montagne.
Lors de cet entretien, l’entraîneur de l’ASM a reconnu avoir été déçu par la réalité du travail au sein de son équipe.
Depuis l’extérieur, il imaginait que les Clermontois s’entraînaient avec une rigueur exemplaire.
Cependant, après avoir rejoint la formation Auvergnate, il a constaté un tout autre tableau.
Extrait de ses propos :
« Clermont a toujours été une équipe qui travaillait beaucoup sur le terrain, plus que l’adversaire. Quand j’entraînais ailleurs, le leitmotiv de la semaine était qu’il fallait s’entraîner davantage que ces gars-là.
Quand je suis arrivé ici, je me suis rendu compte qu’il y avait un monde d’écart avec ce que je voyais à la télé. À Bordeaux, par exemple, on travaillait plus qu’à Clermont. Mon rapport d’étonnement a été assez dur. Je ne sentais pas de cohérence ni d’envie de progresser. »







