
Les rappeurs Bigflo & Oli ont décidé d’investir dans le monde du sport en rejoignant Antoine Dupont et Léon Marchand pour entrer au capital du Toulouse Basket Club (Nationale 1). Cette association inédite allie culture, sport et une forte ambition pour propulser le club toulousain vers les sommets.
Un lancement original devenu viral
Le projet a été annoncé à travers une vidéo pleine d’humour, qui a déjà cumulé plus d’un million de vues. Bigflo s’y illustre sur le terrain en lançant : « Toulouse basket-ball, let’s go ! »
Simultanément, Oli échange avec Dupont et Marchand en visioconférence, témoignant ainsi de la bonne entente et du dynamisme qui animent cette collaboration.
Une initiative portée par les rappeurs
Les deux frères, déjà très présents dans la vie culturelle de Toulouse, sont à l’origine de ce partenariat.
Bigflo a expliqué au journal La Dépêche :
« L’intention vient de nous, c’est un projet qu’on porte, on n’est pas venu nous chercher. »
S’inspirant de l’exemple de Drake et de son engagement auprès des Raptors, il confie :
« Je veux faire tout ce qu’il fait dans sa vie. […] Je ne suis pas trop le basket, on n’est pas des spécialistes de basket mais j’étais dans mon lit jusqu’à 4 heures du matin juste pour voir Drake, comment il réagissait sur le bord de terrain… Je me suis dit : je veux absolument faire ça aussi dans la vie. »
Un quatuor fédérateur pour un défi ambitieux
Avec les rappeurs, Antoine Dupont et Léon Marchand mettent leur image et leur vitalité au service du projet.
Oli résume l’esprit de ce collectif :
« Nos amis Léon Marchand et Antoine Dupont sont de la partie aussi, ils apportent leur énergie, leur vision et leur nom au club. Chacun apporte des talents et des personnalités très différents. On est trop content de faire ce genre de monstre à quatre têtes. » Bigflo ajoute avec un sourire : « On est les Avengers de Toulouse. »
Des ambitions clairement affichées
Fabien Conte, président du TBC, affiche ses grandes espérances :
« Notre souhait est d’évoluer en Élite 2 (Pro B) d’ici deux à trois ans et en Betclic Élite d’ici cinq à six ans. Toulouse, troisième ville de France, mérite d’avoir un club de basket. »







