
Revenu dans le XV de départ pour affronter le Rugby Club Toulonnais ce dimanche soir, Cheikh Tiberghien connaît parfaitement l’importance que revêt le stade Jean-Dauger dans les performances de l’Aviron Bayonnais.
Selon lui, il n’y a pas de mystère :
« C’est bateau de le dire mais le stade, le public, l’environnement… Tout ça fait que c’est difficile pour les équipes adverses de venir jouer ici. Chez toi, t’as un supplément d’âme. Cela entraîne un petit plus dans tous les domaines, partout, dans chaque détail. On est peut-être meilleur à domicile, ou disons plus pragmatique, plus tueur » confie-t-il dans les colonnes de Sud-Ouest.
L’international en rugby à 7 développe même un effet miroir :
« Si on a ce petit plus, peut-être que les adversaires ressentent un petit moins. C’est plus dur pour eux avec l’environnement, le public, la pression ou encore l’arbitrage. »
Cette dimension mentale, Cheikh Tiberghien l’a déjà expérimentée :
« Quand j’étais à Clermont, on avait parlé de tout cet environnement dans la préparation du match. Sans y passer la semaine, c’était un sujet. »







