
Isabelle Ithurburu va retrouver le rugby sur TF1, en cette période internationale.
En effet, les trois matches du XV de France comptant pour la Tournée d’automne vont être diffusés sur TF1.
Interrogé via Le Parisien, celle-ci a expliqué savoir ce qu’attendent les gens qui regardent le rugby sur TF1. Extrait:
Je sais très bien ce que les gens viennent chercher sur TF 1 et ça me va très bien, car je me considère comme étant grand public. Il n’y a pas que des anciens entraîneurs ou des papas de joueurs qui viennent assister au match. Il y a aussi des femmes et des enfants. C’est un sport dont les règles sont compliquées, et j’adore l’idée de le rendre didactique. Alors oui, certains voudraient de la palette tactique, mais si on fait ça, on perd tout le monde.
Elle est d’ailleurs très heureuse de savoir que TF1 a remporté les droits télé de la Coupe du monde 2027. Extrait:
C’est la chaîne des matchs qui marquent. Je la voyais déjà comme cela quand j’étais petite et que je regardais la Coupe du monde de rugby sur TF 1. L’idée est de proposer au plus grand nombre les matchs les plus emblématiques.
Mais TF1 n’a pas encore réussi à détrôner France 2 pour le Tournoi des Six-Nations. Extrait:
Je suis déjà servie en termes de beaux matchs ici (sourire). Ce qui compte, c’est que tous les matchs soient visibles. Il y a une économie à prendre en compte, je comprends que la même chaîne ne puisse pas tout montrer. Comme ça, il n’y a pas de jaloux.
Elle indique qu’elle pourra toujours présenter le 13h00, en parallèle des matches de rugby. Extrait:
Le « 13 Heures » c’est la semaine, le rugby c’est le samedi. Je ne vais pas dire que j’ai une surcharge de travail. Le rugby ne me demande pas la même préparation que le « 13 Heures ». Ça coule dans les veines, en fait. C’est comme le vélo, les émotions reviennent vite. Tout est simple et très facile.
En fait, c’est le rugby qui m’a appris à appréhender le « 13 Heures ». Ce journal est très proche des gens, il parle à tout le monde, et je pense souvent à mes parents qui le regardent depuis toujours, comme le rugby. J’ai l’impression que c’est le même public. J’essaie de les prendre de la même manière. Il est très proche des gens, il parle à tout le monde, j’ai l’impression que c’est le même public.







