
Ce samedi après-midi au stade Ernest-Wallon, le Stade Toulousain a décroché une victoire face à l’USAP lors de la deuxième journée du Top 14, avec un score de 31 à 13.
Le lendemain, le quotidien régional L’Indépendant s’est penché sur la défaite des Catalans.
Le journaliste n’a pas mâché ses mots en critiquant l’atmosphère régnant dans l’enceinte toulousaine.
Selon son analyse, des stades comme Aimé-Giral, le Michelin ou Mayol peuvent se vanter d’offrir une ambiance intense et bouillante, mais Ernest-Wallon demeure en retrait parmi les arènes les plus enflammées du Top 14.
Depuis plusieurs années, le Stade Toulousain a pris l’habitude d’accompagner chaque arrêt de jeu par une bande sonore. Le résultat ? Une ambiance qui évoque davantage un karaoké festif qu’une véritable arène rugbystique.
C’est certes convivial et festif, mais loin de l’atmosphère oppressante que certains autres stades savent mettre en place pour déstabiliser leurs adversaires.
Voici le coup de gueule du journaliste de L’Indépendant :
« Les ambiances d’Aimé-Giral, Michelin ou Mayol peuvent être tranquilles. Celle de Toulouse est toujours très loin derrière dans le classement des meilleurs publics. Comme depuis plusieurs saisons désormais, le Stade Toulousain a décidé de mettre de la musique à chaque arrêt de jeu.
On vous fait la playlist : « Dans les yeux d’Emilie », « Freed From Desire », « Le Chasseur » de Michel Delpech, « Take me home, Country roads »… Pour réviser pour votre prochaine soirée karaoké, c’est le bon endroit.
En revanche, pour avoir la sensation d’être dans un chaudron où la pression est à son comble, il faut repasser… Même si Toulouse n’a pas forcément besoin de ça. Mais que le rugby reste un sport et ne se transforme pas en concert à ciel ouvert. »
Voilà qui est dit !








Connard de journaliste je suis allé à Mayol et à Perpignan je me suis fais insulter à Toulouse on respect les adversaires