Parmi les recrues étrangères récemment arrivées à Toulouse, rares sont celles qui se sont adaptées aussi rapidement que Jack Willis. Sur le terrain, l’international anglais est devenu un élément clé du dispositif toulousain. En dehors des matches, il s’est également approprié les plaisirs locaux avec autant de passion que dans les rucks.
Gourmand et curieux, Willis s’est plongé dans la gastronomie du Sud-Ouest depuis son arrivée dans la Ville rose en novembre 2022. Interrogé par La Dépêche sur le plat qui symbolise le mieux ses fêtes à la française, il répond sans hésiter.
Le troisième ligne, qui a fêté ses 29 ans le 24 décembre, avoue une nouvelle passion pour un produit emblématique de la région : « Ce que je préfère, je pense que c’est une entrée. Selon moi, il faut manger du foie gras. Parce qu’avant, lorsque je vivais en Angleterre, je n’avais jamais goûté. Je n’avais jamais mangé ça. Et maintenant, j’adore. J’adore ! Ça, c’est un truc que j’ai découvert depuis trois ans et c’est vraiment délicieux. »
Cette année, Willis a choisi de rester en France durant les fêtes. Ses quatre jours de congé lui offrent l’opportunité de profiter de sa famille à Toulouse. Mais l’excès est proscrit : le staff du Stade Toulousain attend un maximum de professionnalisme pour que les joueurs soient prêts à reprendre la compétition dans les meilleures conditions.
Car la pause sera courte. Dimanche, le Stadium accueillera le Stade Rochelais pour un choc du Top 14 qui ne laissera aucune place à la digestion difficile. Willis pourra savourer — avec modération — avant de replonger dans l’intensité du championnat.







