Le président de Clermont, Jean-Michel Guillon soutenait avec force et conviction la candidature de Vincent Merling à la présidence de la Ligue Nationale de Rugby.
Interrogé dans les colonnes du journal La Montagne, le président de l’ASM a réagit à la défaite du patron du Stade Rochelais face à Jean-René Bouscatel, élu nouveau président de la LNR, lequel succède ainsi à Paul Goze.
Et le président Clermontois s’est montré amer suite la défaite de son candidat favori. Il explique d’ailleurs découvrir un monde avec des petits arrangements entre amis. Extrait:
“Une partie a fait campagne, l’autre beaucoup moins. Je dirais que la politique est un domaine qui s’apprend. Je découvre un peu plus ce monde des élections, des petits arrangements. J’avais affiché mon support à Vincent Merling, je ne m’en cache pas. Je retiens qu’il y avait face à sa candidature une machine de guerre.”
Jean-Michel Guillon ne le cache pas : il aurait clairement préféré que Vincent Merling soit le nouveau président de la Ligue Nationale de Rugby. Il explique pourquoi. Extrait:
“J’aurais préféré que Vincent Merling soit élu. Derrière, j’attends de voir quel équilibre il y aura entre une fédération qui porte le monde amateur et une ligue qui représente le monde professionnel. Il y a une nouvelle donne, je ne voudrais pas que cela devienne une ligue inféodée. C’est une crainte de voir une forte emprise de la FFR dans le temps, oui.”
