Le manager de Clermont, Christophe Urios s’est confié dans les colonnes de La Montagne à l’approche de la reprise du Top 14.
Questionné sur le recrutement de l’ASM, ce-dernier ne veut confirmer aucune rumeur.
Il indique ne pas vouloir parler du recrutement.
Cependant, il précise travailler beaucoup pour concocter un groupe de qualité pour les saisons à venir. Extrait:
Je ne confirme rien. Je ne parle pas de ça. On travaille beaucoup, c’est tout. Sur les joueurs qui nous intéressent, on est dans les clous pour le moment. On a une idée claire de ce que l’on veut faire et on commence à avoir de bonnes réponses, c’est intéressant.
Après, le recrutement, il est assez simple. Je suis assez d’accord avec la feuille de route que l’on m’a donnée : remettre le club le plus haut possible, donc retrouver la culture du travail. Aujourd’hui, on l’a perdu. Sportivement, on essaye de la remettre en place.
Après, si on veut jouer le haut du tableau, on a besoin de rentrer des joueurs de haut niveau. Et aussi, se séparer de certains joueurs qui ne correspondent pas à ce que je veux mettre en place. Donc, on travaille beaucoup là-dessus. Les joueurs seront tenus au courant d’ici au 15 novembre.
Dans la foulée, il affirme être en mesure de pouvoir recruter des joueurs de haut niveau dès cette saison. Extrait:
Oui, je le pense. Mais l’avenir nous le dira. L’important est de trouver la bonne formule entre les JIFF, pas simple, le salary cap évidemment, et la cohérence de ce que l’on veut mettre en place. On a des joueurs de haut niveau qui sont ciblés mais pour le moment ce n’est pas encore fait. Je pense que notre équipe la saison prochaine, elle va progresser. En tout cas, c’est le but.
Christophe Urios ne le cache pas : Clermont est limite concernant le quota JIFF. Extrait:
On est limite, oui. On le savait, on s’est séparé de beaucoup de joueurs JIFF et on a rentré pas mal de mecs non JIFF. Ça peut se jouer à pas grand-chose dans la saison, avec le jeu des blessures aussi. On l’a en tête et on est prêt à ce que ce soit tendu. L’important, ce n’est pas de savoir que c’est tendu, c’est de savoir comment tu en ressors.
