Le Stade-Français Paris connait un début de saison très compliqué.
Dimanche dernier, le club de la Capitale a néanmoins réussi à s’imposer contre Clermont, ce qui permet à Paris de quitter la place de lanterne rouge du championnat.
Interrogé via RMC Sport, le Directeur Général du Stade-Français Paris, Thomas Lombard a expliqué être soulagé de cette victoire.
Il espère désormais que son équipe va gagner en régularité afin de pouvoir ensuite monter en puissance. Extrait:
“Il y a un peu de soulagement après cette victoire contre Clermont. Mais il faut remettre les choses en perspective. Il y a eu beaucoup d’affolement et on a essayé de ne pas céder à cet affolement justement car on a conscience qu’il y a beaucoup d’attente sur le club. Si on fait un comparatif avec la saison dernière, on avait connu deux déconvenues sur deux premières réceptions : contre Bayonne et le Racing. Maintenant, on a un peu de soulagement car il y a quand même une pression qui était tombée sur le club et il fallait inverser la spirale. J’ai l’impression que l’on a joué sur notre vrai niveau contre Clermont, même si on rate encore plusieurs occasions. J’espère que l’on va pouvoir gagner en régularité au niveau de l’engagement des joueurs pour pouvoir retrouver de la sérénité.”
Selon lui, son équipe s’est peut-être trop reposée sur ses bonnes performances effectuées en fin de saison dernière. Extrait:
“On s’est peut-être trop reposé sur notre fin de saison dernière. On a peut-être été un peu trop naïfs. On a manqué d’expérience. Après, perdre à Bordeaux ce n’est pas une honte. Mais c’est la performance contre Toulon qui a posé problème. On a eu le sentiment d’une démission et un manque de rébellion de la part de l’équipe. On sait qu’il y a un gap important entre ce que l’on fait à l’entrainement et ce que l’on propose en match. Tout cela se met en place par la confiance et on acquiers cela par les résultats et les victoires. Il n’y a pas eu de victoire et des doutes se sont mis en place.”
Questionné sur les départs importants en fin de saison dernière, Thomas Lombard explique vouloir regarder en avant et non pas en arrière. Extrait:
“C’était des choix de faits, de se séparer d’un certain nombre de joueurs. Mais on n’est pas là pour regarder en arrière. On regarde en avant et il faut que les cadres de cette équipe prennent les choses en main.”
D’ailleurs, il estime que l’effectif du Stade-Français est encore meilleur que celui de la saison dernière. Extrait:
“On a une équipe aussi bonne si ce n’est meilleure que la saison dernière. Maintenant, il faut trouver les bons réglages, c’est une question de confiance et d’implication des joueurs, mais aussi de l’exigence qu’ils doivent avoir vis-à-vis d’eux-mêmes. Les semaines qui viennent vont nous amener des réponses. On va essayer de jouer à notre niveau et je pense que notre niveau se situe plutôt dans la première partie du tableau plutôt que la deuxième. Aujourd’hui, 9 clubs sont au Salary Cap. Tout le monde dit que le Stade Français a beaucoup de budget. Oui a beaucoup de charges surtout, mais on n’a pas plus de moyens que les huit autres clubs qui sont au taquet du Salary Cap.”
Pour conclure, Thomas Lombard indique que Gonzalo Quesada n’est en aucun cas menacé et qu’il représente une pierre importante de l’édifice du club. Extrait:
“Gonzalo Quesada est une pierre très importante dans notre édifice. Il est là pour s’inscrire dans la durée. Mais tout le monde sait aussi qu’un coach est mis en danger par les résultats. L’idée n’est pas de tout envoyer balader et de tout remettre en question. C’est simplement d’arriver à trouver la bonne carburation. Cela passera peut-être par des ajustements. Mais il n’est pas question de remettre en cause le projet de Gonzalo Quesada à la tête du club. Il n’est pas menacé.”
gonzalo quésada est avec urios le meilleur entraineur français le début de saison s’est a voulu que le nouvel effectif gonzalo s’en est vu pour trouver la bonne formule y’a pas que le stade français LOMBARD a de la chance d’avoir un gonzalo beaucoup le voudraient ce sont aux joueurs a justifier leur paye l’an dernier gonzalo l’a justifier
Comment un joueur plus que moyen, peut diriger des entraineurs plus expérimentés que lui